vendredi 28 décembre 2007

Environ 10.000 personnes sont condamnées à mort et exécutées chaque année en Chine


Execution_chineAlors qu'il s'agissait jusqu'à présent d'un secret d'Etat, une estimation du nombre d'exécutions capitales en Chine a été annoncé à la presse par le député Chen Zhonglin :

"Il y a environ 10.000 cas de peine de mort suivis d'exécutions immédiates, soit cinq fois plus que tous les autres pays combinés."

A titre de comparaison, il y en a eu 42 aux Etats-Unis en 2007. Il serait temps que les bonnes consciences européennes et en particuliers françaises cessent leur hypocrisie vis-à-vis du totalitarisme chinois surtout lorsque les droits de l'homme sont proclamés ici en permanence... mais jamais lors de voyages en Chine où attendent de juteux contrats économiques. La France avait pourtant été plus "courageuse" contre l'Afrique du Sud à partir de 1977 mais il est vrai qu'il ne s'agissait pas de s'en prendre à un régime communiste !

Couv242_s L'initiative de Chrétienté-Solidarité d'appel à la contestation des Jeux Olympiques de Pékin s'inscrit dans la dénonciation globale de ce régime :

"L’abomination communiste en Chine ne relève hélas pas du passé. Le laogaï continue. Le Tibet a perdu son identité. Le peuple chinois dans son immense majorité demeure esclave et miséreux, voué aux décisions les plus démentes d’une planification humainement et écologiquement désastreuse."

Philippe Carhon



Libellés :

lundi 24 décembre 2007

Afrique du Sud: le chant de guerre de Zuma n'est pas du goût de tous


POLOKWANE (AFP) — Certains le jugent idiot, d'autres inapproprié à l'Afrique du Sud post-apartheid, mais Jacob Zuma, nouveau patron du parti au pouvoir, n'a nulle envie de rayer des cartes son chant de ralliement guerrier, "Umshini Wami".

"Si vous effacez les chansons, vous effacez une partie de l'Histoire", a argué le tribun zoulou à propos de ce chant adopté par ses partisans pour l'accompagner depuis ses démêlés avec la justice jusqu'à la présidence de l'ANC.

"Umshini Wami" (Passe moi ma mitraillette, en zoulou) a été popularisé par le MK, branche armée du Congrès national africain (ANC) durant sa lutte contre le régime raciste, à laquelle Zuma a participé comme chef du renseignement.

Mais treize ans après le triomphe de l'ANC aux premières élections multiraciales, la minorité blanche n'est pas la seule à penser que ce chant devrait être relégué aux archives de l'Histoire. "La chanson avait un caractère militaire utile pendant la lutte contre l'apartheid et n'est plus d'actualité", a déclaré Andrew Mlangeni, vétéran d'Umkhonto we Sizwe (MK - La lance de la Nation, en xhosa et zoulou).

"Elle dit +Passe moi mon arme. Je vais combattre l'apartheid+. Contre qui on se bat maintenant? Contre son propre peuple? La lutte est finie et cette chanson ne doit plus être chantée", a ajouté Mlangeni qui, comme Zuma, a été emprisonné au célèbre bagne de Robben Island.

Afin de forger son unité, la nouvelle Afrique du Sud a adopté un hymne national hybride, qui inclut des couplets en cinq de ses onze langues officielles: zoulou, xhosa, afrikaans, sotho et anglais.

Mais alors qu'il était respectueusement, mais platement, entonné par les délégués de l'ANC, réunis cette semaine en congrès, l'atmosphère s'électrisait dès que les partisans de Zuma hurlaient à pleins poumons "Umshini Wami".

Les détracteurs de ce chant rejettent ses paroles, mais aussi le fait que les Zoulous, ethnie la plus nombreuse, l'aient choisi comme hymne officieux dans un pays où le tribalisme n'est pas politiquement correct.

Le ministre de la Défense, Mosiuoa "Terror" Lekota, qui a aussi critiqué les partisans de Zuma pour arborer des T-shirts avec le slogan "100% Zoulou", s'est attiré les foudres de certains en qualifiant d'"idiots" ceux qui le reprennent. Mais son collègue de la Culture, Pallo Jordan, estime que le chant ne sème pas nécessairement la discorde.

"Dans toute révolution, l'un des outils de mobilisation est la culture et la musique. Pourquoi devrions-nous y renoncer", a-t-il déclaré.

La polémique rappelle celle qui a entouré en 2006 le succès de "De La Rey", chanson en hommage à un général des guerres anglo-boer, repris par les Afrikaaners pour exprimer leur identité d'Africains blancs. Zuma, qui depuis peu tend la main à cette minorité autrefois au pouvoir, a estimé que les deux chansons rendaient hommage au patrimoine de leur communauté.

"Vous m'avez entendu défendre De La Rey. Il a été l'un des plus grands généraux qu'ait compté l'Afrique du Sud. Si les Afrikaners ne chantent pas De La Rey, qui d'autre chanteront-ils?", déclarait-il récemment. "Umshini Wami" a été aussi chanté à tue-tête par les partisans de Zuma en 2006 durant son procès pour viol, à l'issue duquel il a été acquitté, et lors de ses comparutions pour corruption, jusqu'à un non-lieu.

Zola Skweyiya, autre vétéran du MK aujourd'hui un gouvernement, explique que ce chant a été conçu pour développer la solidarité entre combattants de l'apartheid et qu'il a toujours sa raison d'être. "C'est un chant de solidarité, de rassemblement dans un but commun. Il fait partie de notre histoire et nous ne pouvons le balayer ainsi."

"Tout comme à l'église, chacun a son cantique préféré. L'ANC est une grande église."

Libellés : , , , , ,

dimanche 23 décembre 2007

L'Afrique du Sud la locomotive de l'Afrique

Vive l'Afrique du Sud

samedi 22 décembre 2007

L’Afrique du Sud est un pays à revenu intermédiaire, avec d’immenses ressources, un bon système financier, des lois très élaborées, des communications fiables, de bons réseaux énergétique et de transports et une Bourse (La JSE Limited).

Tous ces facteurs permettent à ce pays de figurer parmi les 20 nations les plus puissantes du monde, avec des infrastructures modernes favorisant une distribution efficace des biens dans tous les grands centres urbains de la région.

C’est ainsi que s’exprimait l’Organisation des Nations Unies qui faisait alors de l’Afrique du Sud la première économie africaine et la 24e mondiale en termes de produit intérieur brut (PIB).

Dans bien des domaines, l’Afrique du Sud est considérée comme un pays développé, pour avoir été classée en 2007, par la grande firme AT Kearney, 18ème destination la plus attrayante au monde pour les capitaux directs étrangers, sur la base du dernier Indice de Confiance de l’Investissement Direct Etranger.

Cependant, ce développement très poussé ne concerne en réalité que cinq zones, à savoir le Cap, Port Elizabeth, Durban, Pretoria et Johannesburg.

En dehors de ces cinq centres économiques, le développement est marginal et la pauvreté est encore très présente, malgré les efforts menés par le gouvernement au cours des 13 années de règne de la majorité noire.

En conséquence, l’immense majorité des Sud-africains est pauvre et ne parvient pas à gérer les caprices d’une pauvreté indescriptible, notamment dans les zones urbaines des grandes villes, où d’immenses bidonvilles ont poussé comme des champignons, comme partout ailleurs en Afrique et dans le Tiers Monde.

Même si l’Afrique du Sud a le quatrième revenu par tête le plus élevé d’Afrique, n’étant devancé que par Seychelles, le Botswana et les possessions européennes en Afrique, elle fait face à de d’énormes différences de revenus et d’une économie à deux vitesses qui font d’elle un véritable pays en développement.

L’Afrique du Sud a un des indices d’inégalité de revenus les plus élevés au monde, avec une minorité blanche qui a bénéficié de tous les privilèges au cours des trois derniers siècles et a accumulé beaucoup plus de richesses que le reste de la population noire.

Plus d’une décennie de croissance économique soutenue, l’arrivée, il y a 13 ans, du Congrès National Africain (ANC) a quelque peu aidé à réduire le chômage, mais les véritables problèmes de développement restent encore sans solution.

Les revenus du ménage moyen sud-africain ont considérablement diminué entre 1995 et 2000. En ce qui concerne les inégalités raciales, ‘Statistics South Africa’ indique qu’en 2007, une famille blanche moyenne gagnait quatre fois plus qu’une famille noire moyenne- avec l’émergence d’une classe moyenne qui gagne presque autant que la minorité blanche.

MGM/nm/fss/mn/APA

Libellés : , ,

mercredi 19 décembre 2007

200 clandestins morts et disparus en deux jours dans le golfe d'Aden, alerte le HCR

GENEVE (AFP) — Près de 200 personnes sont mortes ou ont disparu dans les naufrages, samedi et dimanche dans le golfe d'Aden, de deux bateaux transportant au total 418 migrants africains, entre la Somalie et le Yémen, a indiqué mardi le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR).

Le premier bateau, avec 148 personnes à bord, a chaviré samedi près des côtes yéménites, après une dispute entre passeurs clandestins. Au moins 58 personnes, dont 54 Ethiopiens et 4 Somaliens se sont noyées, 37 personnes étant portées disparues, a rapporté le HCR devant la presse à Genève.

Dimanche, une autre embarcation avec 270 personnes à bord a heurté un rocher en tentant d'échapper à une patrouille de garde-côtes yéménite. Au moins 173 personnes ont pu rejoindre le littoral à la nage, mais les autres passagers, dont plusieurs enfants, sont portés disparus.

"Les survivants du deuxième bateau nous ont raconté que les trafiquants avaient été très violents au cours du voyage. Les passagers étaient durement frappés et un homme qui ne pouvait plus supporter les coups a sauté par-dessus bord et s'est noyé", a indiqué la porte-parole du HCR, Astrid van Genderen Stort.

Le nombre de personnes décédées en tentant la traversée du golfe d'Aden s'est massivement accru entre septembre et décembre, a relevé le HCR.

Depuis le début de l'année, plus de 1.400 personnes sont mortes dans le golfe d'Aden, alors que plus de 28.300 personnes ont réussi à atteindre la côte yéménite à bord de 300 bateaux.

En septembre, 67 bateaux ont fait la traversée et 264 personnes sont mortes. 77 bateaux ont quitté les côtes somaliennes en octobre faisant 347 morts. L'intensification des patrouilles yéménites a fait baisser le nombre de traversées en novembre, mais la proportion de morts a augmenté avec 37 bateaux et 205 morts.

Depuis le début du mois de décembre, 27 embarcations ont quitté la Somalie et 186 personnes sont décédées.

Un journaliste français, Gwen Le Gouil a été enlevé dimanche matin au lendemain de son arrivée à Bossasso (Somalie), d'où sont parties les embarcations qui ont chaviré et où il comptait effectuer un reportage sur le trafic d'émigrants illégaux.

Libellés : , ,

Liste des joueurs présélectionnés pour la coupe d'Afrique des nations Ghana 2008 :

On attendait les noms des joueurs de la tanière des ‘Lions’ du Sénégal, pré-sélectionnés pour la Coupe d’Afrique des nations ’Ghana 2008’. Le sélectionneur Henri Kasperczak vient de publier la liste de 38 joueurs, qui devront batailler ferme pour être de la fête du football continental, au soir du 10 février 2008. Des joueurs comme El Hadj Ousseynou Diouf de Bolton (Angleterre), Tony Mario Sylva de Lille (France), Pape Bouba Diop de Porsmouth (Angleterre), Mamadou Niang de Marseille (France), Henri Camara de West Ham (Angleterre), Diomansy Kamara de Fulham (Angleterre), Lamine Diatta de Besiktas ( Turquie), Abdoulaye Diagne Faye de Newcastele (Angleterre), Ousmane Ndoye de Académia Coimbra (Portugal) et Ibrahima sonko de Reading (Angleterre) sont en bonne place dans le premier fichier, présenté par le patron de l’équipe du Sénégal.

La liste, que les observateurs attendaient, reste muet sur la présélection de Bétéfémi Gomis, l’attaquant de L’As Saint-Etienne, que beaucoup de Sénégalais souhaitaient voir dans leur équipe nationale. Surtout que les férus de football pensent ‘qu’il faut se rendre au Ghana avec toutes nos potentialités, afin de prétendre au trophée africain du football’. Une coupe qui ne sera pas de tout repos, car les meilleures équipes seront au rendez-vous du football continental qui sera l’un des plus relevés, pensent les techniciens et footballeurs du continent. La non participation de ce puissant attaquant Frano-sénégalais, qui lorgne du côté de Raymond Domenech, le sélectionneur des ’Bleus’ de la France pour une invite dans le onze français, risque de faire faux bond aux milliers de Sénégalais qui s’attendaient à son apparition dans le club des ’Lions’ du Sénégal.

La non sélection de ce bi-national ’ne fait pas tomber la lune sur nos têtes. Talentueux qu’il est, il n’est pas indispensable pour le football sénégalais qui regorge de footballeurs de qualité. Il faut savoir faire le bon dosage, pour arriver à mettre sur pied, une sélection de rêve qui peut réussir le pari de mettre tout le monde d’accord sur notre ambition de monter sur le podium africain pour la première fois, après la finale ratée du Mali en 2002’, informe le Franco-sénégalais, Mor Dior Thiam.

Des talents cachés sont dans cette présélection. Il faut savoir faire les mettre en exergue pour arrimer sur le fil du départ les meilleurs. Et on note deux retours avec Moussa Ndiaye et Souleymane Camara ’Soul’ qui peuvent apporter une expertise à cette équipe du Sénégal, s’ils sont sélectionnés dans l’équipe en partance pour le Ghana. ‘Parce qu’ils ont encore quelque chose à prouver sur le terrain... Ils manquent de chance, mais c’est de bons attaquants qui peuvent créer la surprise, là où ne les attend pas’, avise M. Thiam.

Babacar Noël NDOYE Liste des 38 joueurs préséléctionnés

Tony Mario Sylva( Lille-Losc-France)

Omar Daf( Fc.Sochaux-France)

Kalilou Cissokho( Football Club de Baki-Azerbaïjan)

Habib Béye( Newcastle-Angleterre)

Pascal Mendy( Club F. de Kaunas-Lithuanie)

Ibrahima Khouma Guéye( Etoile Rouge de Belgrade-Serbie)

Demba Bâ( Hoffenhem-Allemagne)

Cheikh Guéye( FC-Metz-France)

Ibrahima faye( FC.Troyes-France)

Guirane Ndao( FC-Sochaux-France)

Pape Bouba Diop( Porsmouth-Angleterre)

Ousmane Ndoye( Academia Coimbra-Portugal)

Badara Séne( FC-Sochaux)

Malick Bâ( FC-Bâles-Suisse)

Pape Waïgo Ndiaye( Genoa Calcio-Italie)

Baba car Guéye( FC-Metz-France)

El Hadji Ousseynou Diouf( Bolton-Angleterre)

Mamadou Niang( OL-Marseille-France)

Momar Ndiaye( Fc-Metz-France)

Modou Sougou( Union Deportivo de Liera-Portugal)

Abdel Kader Mangane( Racing Club de Lens-France)

Issa Ndoye( Zobehan-Iran)

Bouna Coundoul ( Colorado Rapids-USA)

Souleymane Camara( Montpellier-France)

Boukharry Dramé( FC-Sochaux)

Henri Camara( West Ham-Angleterre)

Ferdinand Coly( Parme-Italie)

Cheikh Tidiane Ndiaye( Creteil-France)

Souleyùane Diawara( Girondins de Bordeaux-France)

Bayal Sall( Saint-Etienne-France)

Dimansy Kamara(( Fulham-Angleterre)

Ibrahima Sidibé( Debrechen-Hongrie)

Ibrahima Sonko( Reading-Angleterre)

Mouhamed Adama Sarr( Standard de Liege-Belgique)

Fréderic Mendy( Bastia- France)

Abdoulaye Diagne Faye( Newcastle-Angleterre)

Lamine Diatta( Besiktas-Turquie)

Moussa Ndiaye( Umm Salal Sport Club-Quatar)

Libellés : , , , , ,

FootballListe des joueurs présélectionnés pour la coupe d'Afrique des nations Ghana 2008 : La bande à Diouf en première ligne

Football
Liste des joueurs présélectionnés pour la coupe d'Afrique des nations Ghana 2008 : La bande à Diouf en première ligne


On attendait les noms des joueurs de la tanière des ‘Lions’ du Sénégal, pré-sélectionnés pour la Coupe d’Afrique des nations ’Ghana 2008’. Le sélectionneur Henri Kasperczak vient de publier la liste de 38 joueurs, qui devront batailler ferme pour être de la fête du football continental, au soir du 10 février 2008. Des joueurs comme El Hadj Ousseynou Diouf de Bolton (Angleterre), Tony Mario Sylva de Lille (France), Pape Bouba Diop de Porsmouth (Angleterre), Mamadou Niang de Marseille (France), Henri Camara de West Ham (Angleterre), Diomansy Kamara de Fulham (Angleterre), Lamine Diatta de Besiktas ( Turquie), Abdoulaye Diagne Faye de Newcastele (Angleterre), Ousmane Ndoye de Académia Coimbra (Portugal) et Ibrahima sonko de Reading (Angleterre) sont en bonne place dans le premier fichier, présenté par le patron de l’équipe du Sénégal.

La liste, que les observateurs attendaient, reste muet sur la présélection de Bétéfémi Gomis, l’attaquant de L’As Saint-Etienne, que beaucoup de Sénégalais souhaitaient voir dans leur équipe nationale. Surtout que les férus de football pensent ‘qu’il faut se rendre au Ghana avec toutes nos potentialités, afin de prétendre au trophée africain du football’. Une coupe qui ne sera pas de tout repos, car les meilleures équipes seront au rendez-vous du football continental qui sera l’un des plus relevés, pensent les techniciens et footballeurs du continent. La non participation de ce puissant attaquant Frano-sénégalais, qui lorgne du côté de Raymond Domenech, le sélectionneur des ’Bleus’ de la France pour une invite dans le onze français, risque de faire faux bond aux milliers de Sénégalais qui s’attendaient à son apparition dans le club des ’Lions’ du Sénégal.

La non sélection de ce bi-national ’ne fait pas tomber la lune sur nos têtes. Talentueux qu’il est, il n’est pas indispensable pour le football sénégalais qui regorge de footballeurs de qualité. Il faut savoir faire le bon dosage, pour arriver à mettre sur pied, une sélection de rêve qui peut réussir le pari de mettre tout le monde d’accord sur notre ambition de monter sur le podium africain pour la première fois, après la finale ratée du Mali en 2002’, informe le Franco-sénégalais, Mor Dior Thiam.

Des talents cachés sont dans cette présélection. Il faut savoir faire les mettre en exergue pour arrimer sur le fil du départ les meilleurs. Et on note deux retours avec Moussa Ndiaye et Souleymane Camara ’Soul’ qui peuvent apporter une expertise à cette équipe du Sénégal, s’ils sont sélectionnés dans l’équipe en partance pour le Ghana. ‘Parce qu’ils ont encore quelque chose à prouver sur le terrain... Ils manquent de chance, mais c’est de bons attaquants qui peuvent créer la surprise, là où ne les attend pas’, avise M. Thiam.

Babacar Noël NDOYE Liste des 38 joueurs préséléctionnés

Tony Mario Sylva( Lille-Losc-France)

Omar Daf( Fc.Sochaux-France)

Kalilou Cissokho( Football Club de Baki-Azerbaïjan)

Habib Béye( Newcastle-Angleterre)

Pascal Mendy( Club F. de Kaunas-Lithuanie)

Ibrahima Khouma Guéye( Etoile Rouge de Belgrade-Serbie)

Demba Bâ( Hoffenhem-Allemagne)

Cheikh Guéye( FC-Metz-France)

Ibrahima faye( FC.Troyes-France)

Guirane Ndao( FC-Sochaux-France)

Pape Bouba Diop( Porsmouth-Angleterre)

Ousmane Ndoye( Academia Coimbra-Portugal)

Badara Séne( FC-Sochaux)

Malick Bâ( FC-Bâles-Suisse)

Pape Waïgo Ndiaye( Genoa Calcio-Italie)

Baba car Guéye( FC-Metz-France)

El Hadji Ousseynou Diouf( Bolton-Angleterre)

Mamadou Niang( OL-Marseille-France)

Momar Ndiaye( Fc-Metz-France)

Modou Sougou( Union Deportivo de Liera-Portugal)

Abdel Kader Mangane( Racing Club de Lens-France)

Issa Ndoye( Zobehan-Iran)

Bouna Coundoul ( Colorado Rapids-USA)

Souleymane Camara( Montpellier-France)

Boukharry Dramé( FC-Sochaux)

Henri Camara( West Ham-Angleterre)

Ferdinand Coly( Parme-Italie)

Cheikh Tidiane Ndiaye( Creteil-France)

Souleyùane Diawara( Girondins de Bordeaux-France)

Bayal Sall( Saint-Etienne-France)

Dimansy Kamara(( Fulham-Angleterre)

Ibrahima Sidibé( Debrechen-Hongrie)

Ibrahima Sonko( Reading-Angleterre)

Mouhamed Adama Sarr( Standard de Liege-Belgique)

Fréderic Mendy( Bastia- France)

Abdoulaye Diagne Faye( Newcastle-Angleterre)

Lamine Diatta( Besiktas-Turquie)

Moussa Ndiaye( Umm Salal Sport Club-Quatar)

Libellés : , , , , ,

dimanche 16 décembre 2007

Les noirs ont des pénis énormes

Libellés : , , , , , ,

Le Gabon se définit comme la «Mecque de la nature»

LIBREVILLE, Gabon | El HadjOmar Bongo, l’omnipotent et indélogeable président de la république gabonaise, affirme que son pays «dispose du potentiel pour devenir la Mecque de la nature où des pèlerins accourront des quatre coins cardinaux du globe pour venir s’assurer qu’il existe encore de tels trésors sur la planète». Plus modeste, René Hilaire Adiahéno, secrétaire permanent du Conseil national des parcs nationaux du Gabon, que j’ai rencontré l’été dernier dans ses bureaux de Libreville, déclare que le Gabon vise à devenir «le Costa Rica de l’Afrique centrale».

«C’est notre ambition et c’est à notre portée, dit-il. Nous avons la biodiversité la plus riche de toute l’Afrique centrale.» Les parcs nationaux, qui représentent, selon lui, «l’éternité du Gabon», vont permettre de «réconcilier les Gabonais — dont 80% vivent dans les villes— avec leur nature et leur culture».

«Tous nos contes font référence aux animaux. Notre sagesse est basée sur notre nature. Il faut donc asseoir une éducation axée sur l’environnement. En développant les parcs nationaux, on va faire partir les Gabonais vers leurs villages, croit-il, car les problèmes de Libreville, la capitale, sont liés à l’exode rural.»

Le plus simple déplacement se transforme en aventure

Treize parcs nationaux:Lors du Sommet de la Terre qui s’est déroulé à Johannesburg en 2002, le président Omar Bongo avait rendu publique sa décision de créer 13 parcs nationaux et de protéger ainsi 11% du territoire national gabonais.

Les zones concernées ont été déclarées d’intérêt naturel mondial. Dans le monde, seul le Costa Rica atteint un pourcentage de territoire protégé de cette importance. Les 13 parcs naturels gabonais se trouvent répartis à travers tout le territoire du pays situé à cheval sur la ligne de l’équateur, tout en disposant d’une vitrine sur l’Atlantique entre le Cameroun et le Congo Brazzaville.

Il y a un an, l’Unesco a d’ailleurs consacré l’un de ces parcs en le classant au répertoire du patrimoine mondial de l’humanité. Le parc de Lopé-Okanda, situé au centre du pays, fut, en 1946, la toute première aire protégée du Gabon.

De multiples atouts:Le patrimoine naturel du Gabon est exceptionnel. Le pays peut se targuer de posséder la gamme de plantes la plus riche de toute l’Afrique. Des espèces animales menacées ou peu représentées en Afrique figurent encore en colonies importantes au Gabon.

Les écosystèmes, fort variés, revêtent la forme d’épaisses forêts équatoriales, de grands plateaux, d’immenses savanes de mangroves touffues, de vastes estuaires, de labyrinthes de lagunes, de fleuves impétueux et d’une façade océanique de 950 kilomètres.

Paul Simier - Collaboration spéciale

Libellés : , , , ,

samedi 15 décembre 2007

La surpopulation africaine

Enseignant des sciences de la population a l’université John Hopkins de Baltimore (Usa), il s’inquiète pour l’avenir du continent
L’Afrique aura 1,9 milliards d’habitants dans moins de 50 ans. Faut-il se réjouir ou avoir peur de cette échéance ?

Evidemment qu’il faut avoir peur de ce chiffre. Comment l’Afrique va-t-elle nourrir cette population ? Déjà aujourd’hui, certains pays ne parviennent pas à nourrir leur population, qu’adviendra-t-il à cette échéance ? Ces pays vivent de l’aide alimentaire extérieure. Prenons le cas du Niger ; ce pays a connu une grave famine il y a deux ans seulement. Il a 14 millions d’habitants à ce jour et il vit sur une projection de 50 millions dans les 50 prochaines années. Si rien n’est fait là-bas, de quoi vivront les Nigériens ? Le Niger n’est pas seul à recevoir les céréales des Etats-Unis pour sa population ; les pays tels l’Egypte, le Mozambique, le Botswana, le Tchad, le Cameroun bénéficient également de ces dons alimentaires.

Tous les pays d’Europe n’ont pas l’auto suffisance alimentaire…

Vous voulez faire allusion à la Hollande. Mais ce pays a résolu ses problèmes alimentaires ; elle échange ce qu’elle a contre ce qu’elle n’a pas et cela fonctionne parfaitement. Les pays africains qui produisent par exemple l’or et le diamant pourraient s’inspirer de l’expérience hollandaise : qu’ils en échangent leurs minerais contre la nourriture.

Au cours de cette conférence à Arusha on prône les meilleures conditions de naissance et de vie ; toutes ces mesures qui accroîtraient la démographie et prolongeraient la durée de vie. Ce discours n’est-il pas à l’opposé de vos thèses ?

Dans les mathématiques de base, on évoque le taux d’accroissement. Cela signifie en gros que, une population, qu’elle soit humaine ou animale, sur le long terme, son taux de croissance doit être égal a zéro. Si les éléments objectifs qui soutiennent cette croissance sont négatifs, cette population sera appelée à disparaître ; dans le cas contraire, elle pourra croître à l’infini. Quelle population, dans sa croissance peut-on soutenir en Afrique et avec quels moyens ?
Il faut réguler la population africaine à 2 ou 3 enfants par famille, c’est une des solutions, mais est-ce possible avec les mentalités du continent ? Au Niger, on retrouve des familles polygamiques avec plus de 8 enfants par femme ! C’est dangereux.

Les enfants c’est la richesse en Afrique…A-t-on coutume de dire.

Cela serait acceptable en zone rurale ou on survit de l’agriculture. Ce n’est pas possible à Lagos, à Accra, à Douala ou Johannesburg ou la croissance est rapide pour des raisons que vous connaissez.

Il faut donc arrêter de procréer en Afrique ?

Je ne le dis pas. Je dis qu’il faut encourager les méthodes contraceptives ; étendre l’éducation sexuelle et décriminaliser l’avortement. La Chine est très peuplée. Elle a limité les naissances à deux enfants maximum par famille. On a éduqué les gens en Chine à faire un enfant pour la nation et non pour la famille. Cette culture serait-elle possible en Afrique ? Je ne le pense pas.

Libellés : , , , ,

Les rétréciseurs de sexe à l'école

Sénégal | Affaire de sexe rétréci : Un enseignant interpellé à Kounkané
Publié le 12 décembre 2007 à 18h25

(Correspondance Kolda) L’affaire des rétrécisseurs de sexe secoue le monde scolaire à Kounkané, village Chef lieu d’arrondissement dans le département de Vélingara. Tout est parti d’un jeune, âgé de 20 ans environ, qui a accusé un institueur originaire du même village de Kounkané d’avoir rétréci son sexe.


Une accusation prise trés vite au sérieux par les habitants du petit hameau de Saré Bouran qui se sont rendus, dès l’annonce de la nouvelle, à l’école, armés de gourdins et autres coupe-coupe pour en finir avec l’accusé.

Heureusement pour ce dernier, il ne s’était pas rendu ce mardi du 11 décembre, à l’école. Le drame a pu être évité, pour l’instant, car les gendarmes, saisis par les collégues de l’accusé, sont vite intervenus. L’instituteur et son acusateur ont été interpellés et toujours en garde à vue à la brigade de Vélingara.

Pour les collégues de l’accusé, c’est une grande surprise, car le mis en cause est né dans le village et enseigne depuis plusieurs années, sans aucun antécédent judiciaire. il est marié et père de trois enfants.

Selon des sources proches de l’enquête, l’accusateur a reconnu avoir retrouvé la taille normale de son sexe, mais persite à dire qu’il lui manque sa virilité. Comment lui rendre sa vigueur de jeune homme ? Allez savoir.

Libellés : , , , , , ,

vendredi 14 décembre 2007

Chirac : l'Afrique progresse

DAKAR, 13 décembre (Xinhua) -- L'ancien président français, Jacques Chirac a déclaré constater avec satisfaction, que l'Afrique"avance au quotidien", à son arrivée jeudi au Mali, en provenance du Sénégal, deuxième étape d'un périple ouest-africain entamé lundi par la Mauritanie.

"Je suis content de voir les progrès réalisés en Afrique", a affirmé Jacques Chirac, soulignant que "l'Afrique fait des progrès, je dirais, chaque semaine, chaque jour", rapporte jeudi l'Agence de presse africaine.

L'ancien chef de l'Etat français ne s'est pas étalé sur les " avancées" qu'il impute, pour une part, à "l'impulsion" donnée par les "présidents" africains, mais, diti-il, "Ça fait un plaisir de le constater".

Parlant de la Fondation qu'il a créée, Jacques Chirac a assuré qu'elle serait officiellement lancée dans les tout prochains jours, après une ultime formalité administrative, notamment l'autorisation du Conseil d'Etat de France.

La nouvelle institution oeuvrera à faciliter l'accès aux médicaments dans "les pays qui en ont besoin, en particulier en Afrique", a-t-il dit, soulignant qu'un autre de ses objectifs est de militer pour le maintien des langues traditionnelles, par des moyens modernes de conservation.

Au rythme actuel, les langues traditionnelles pourraient toutes disparaître dans un siècle, a averti Chirac, qui précise que " quand une langue disparaît, c'est un élément de la culture humaine qui s'en va".

Libellés : , , ,